En amont du Forum Economique Mondial de Davos 2024, le Forum Economique Mondial (FEM) a publié en janvier la 19ème édition de son Global Risks Report. Sans surprise, le panel des 1 490 experts sondés place les risques environnementaux en tête du classement des risques dont les impacts seront les plus élevés à horizon 10 ans.
Cela étant, depuis quelques années, les Etats ont entamé un travail de construction d’un cadre stratégique complet en matière d’adaptation et d’atténuation de la crise environnementale, avec notamment le célèbre Accord de Paris (2015). Plus récemment, le Cadre Mondial de la biodiversité adopté en 2023 lors de la quinzième réunion de la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique rappelle l’urgence qu’il y a à agir, afin de renverser la courbe d’érosion de nos écosystèmes naturels. Ce cadre mondial pose les grands objectifs à poursuivre à horizon 2050 en vue de la protection et de l’utilisation durable de la biodiversité.
L’un des points communs entre les accords des COP15 et COP21 réside dans le champ des solutions pour faire face à la crise conjointe du climat et de la biodiversité : tous deux attribuent à la forêt une place centrale dans les stratégies de réduction de la vulnérabilité de nos sociétés aux risques environnementaux actuels et futurs.
De plus, le Cadre mondial de la Biodiversité de Kunming-Montréal consacre tout un objectif à l’augmentation des financements de la biodiversité, mettant l’accent sur le rôle du secteur privé et ses capacités d’investissement (cible 19 c) du cadre). L’investissement dans des Groupements Forestiers d’Investissement (GFI) se présente alors comme l’un des outils les plus adaptés en réponse aux défis environnementaux qui menacent nos sociétés modernes. En mobilisant des flux de financement privés au service de la gestion forestière et des activités d’afforestation, l’investissement dans des GFI permet de construire la résilience de nos écosystèmes forestiers en renforçant leurs capacités à stocker le carbone et leur rôle de réservoir de biodiversité.
Les GFI de France Valley revendiquent la classification « Article 9 » du règlement européen « Disclosure » (ou SFDR). Les engagements précontractuels en matière environnementale des GFI de France Valley sont disponibles auprès de votre conseiller financier. Les investisseurs sont invités à consulter les notes d’information, DIC et statuts préalablement à toute décision d’investissement. Les GFI présentent un risque de perte en capital.
Sources : World Economic Forum / Convention on Bilogical Diversity